Une des issues possibles d’un combat, pas la plus glorieuse... Regrettons que l’ordre alphabétique nous fasse commencer par ce mot !...
La décision d’abandonner le combat est prise :
soit par le camp du pratiquant. Elle se manifeste par un jet de l’éponge (en fait une serviette) d’un des hommes de coin,
soit par le pratiquant lui-même. Celui-ci indique à l’arbitre qu’il abandonne en levant les bras au cours du combat, ou bien il renonce à reprendre le combat à la fin de la pause.
L’abandon entraîne l’attribution de la victoire à l’adversaire.
Un pratiquant, par principe, n’abandonne jamais la partie de gaîté de cœur (Voir Combativité). Même si son adversaire le domine, il mettra un point d’honneur à terminer la partie, car perdre est moins douloureux qu’abandonner.